Marathon : dernière ligne droite

Quelques trucs et astuces pour pouvoir dire « j’ai kiffé mon marathon de Paris » à tous vos potes!

1. Souriez vous êtes prêts!

Il est très important de positiver ces 10 derniers jours avant le départ. Sourire permet à la fois de vous décontracter et de moins stresser et également de libérer quelques endorphines…. hormones du bonheur ;)

2. J-3 C’est le jour des pâtes!

Que cela soit des pâtes, du riz (plus indiqué que les pâtes d’ailleurs, vu que son assimilation est moins génératrice de « toxines » et sans gluten), les sucres lents doivent être à la base de votre alimentation pendant 3 jours…. Attention cependant, diminuer progressivement vos rations le vendredi, puis le samedi, afin de ne pas arriver ballonné le jour J. Votre riz et vos pates ne doivent pas être trop cuits sinon en manger serait identique que de manger des morceaux de sucres et ne vous permet pas de faire des réserves de glycogène. Si vous remplacez les féculents par de la malto, il s’agit, de la même manière de diluer votre préparation le vendredi, puis le samedi. Attention si vous accompagnez la prise de MALTO avec des repas à base de féculents, là encore la MATO doit être diluée afin d’éviter les dérangements gastriques et/ou intestinaux. Enfin, n’oubliez pas les sucres rapides le long de ces trois jours!

3. Préparez votre sac la Veille avec tout ce qui va bien!

N’en prenez ni trop -inutile de gaspiller votre énergie à porter votre maison sur le dos – ni trop peu – inutile de risquer de prendre froid avant et après la course, ce serait dommage -.

4. Températures!

Dimanche, il devrait faire beau, pas très chaud mais ça va, avec quelques gouttes de pluie. Le temps idéal pour courir, sommes toutes! Par contre, il va falloir vous couvrir avant le départ et notamment quand vous serez dans le sas. Alors faites appel à vos vieux TS de course, vos astuces sacs poubelles pour couvrir votre ventre et éviter ainsi des futurs désagréments intestinaux. N’hésitez pas à sautiller sur place pour maintenir vos muscles à une certaine température avant le départ.

Et pour ne pas avoir trop chaud au fur et à mesure que le soleil monte dans le ciel, vous pouvez opter pour un ensemble Tee-Shirt manches courtes + manchettes. Vous aurez ainsi les bras couverts en début de course quand les températures seront fraiches et vous pourrez baisser les manchettes quand vous aurez trop chaud. Ne pas hésiter à les remonter en fin de marathon car il arrive souvent que l’on se refroidisse du fait de la fatigue et autant garder de l’énergie pour parcourir ces derniers kilomètres plutôt qu’à réchauffer votre organisme!

5. Températures et Gels.

Avec le froid, les gels sont plus pâteux et difficiles à avaler. Même s’il devrait pas faire des températures polaires dimanche 3 avril, nous vous conseillons de les prendre dans votre main 1 minute avant le ravitaillement afin que votre température corporelle réchauffe le gel et le rende ainsi plus liquide. Afin de ne pas vous irriter la main avec les coins carrés des gels, il suffit de les avoir préparés avant la course en arrondissant les coins avec une paire de ciseaux.Si vous optez pour une boisson, que cela soit au ravito avec les petites bouteille à disposition ou que vous preniez votre propre boisson dans une gourde, pensez également à laisser le liquide se réchauffer dans la bouche avant de l’avaler s’il est trop froid. On peut ainsi éviter bien des désagréments intestinaux….

6. Pour sauter le Mur!

Rassurez-vous, le MUR, il n’existe que si vous voulez le rencontrer. Une fois votre préparation bien bouclée, vos pâtes/riz/malto bien assimilés (réserves de glycogène), il vous suffit de partir à VOTRE allure marathon, et pas au dessus, et tout se passera sans la rencontre de ce fameux mur du 35ème. Pas1 kil/h plus vite, pas 0.5 kil/h plus vite, mais à VOTRE ALLURE!

Le mur du marathon correspond à l’épuisement du glycogène. Les graisses (lipides) prennent alors le relai en tant que source énergétique. Mais le rendement de cette filière étant moins bon, c’est comme une panne d’essence! Partez à VOTRE allure et faites coucou au mur quand vous passerez près du 35ème! Le principe de base est d’arriver au semi-marathon très frais. Jusqu’au semi c’est une course d’attente, votre marathon commence au delà des 21 premiers kils! A vous de jouer!

7. Quand les jambes se durcissent!

C’est normal! Il s’agit alors de positiver. Pensez positif, à vos proches qui sont fiers de vous (et nous aussi d’ailleurs!!!!), à tout ce que vous avez réussi à faire pendant votre préparation alors que les conditions d’entrainement étaient difficiles, à la bonne bière qui vous attend à l’arrivée! Et surtout souriez pour libérer les endorphines, motrices à cet instant là! Je veux vous voir sourire sur toutes les photos du partenaire photo du marathon! C’est vraiment très important, même dans la « douleur » on sourit, on positive et on va au bout! Et surtout quand vous allez passer juste devant le magasin, je veux voir des énoooooooormes sourires!!!

8. Rendez-vous chez TO!

Et venez nous raconter votre marathon au mag lors de la veillée « TIME TO FLY » ou quand vous voulez. N’hésitez pas à nous envoyer un petit récit. Cela nous fera vraiment très plaisir! Un petit mel pour tout ça : agnes_7478@hotmail.fr

Nous vous souhaitons une très bonne course, beaucoup de plaisir, et rappelez-vous, quoiqu’il arrive, sauf blessure ce qu’on ne vous souhaite pas,  « ON NE LÂCHE RIEN » !!! On est avec vous!

Nous souhaitons une très bonne course à Adrien du TOP, que la force soit avec toi et au carton! On te suit de près et on est avec toi!

Agnès